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Que faire contre le frottement du sol ?

Contre le frottement du sol sur les roues

Ça a l’air trivial comme problème mais patiner sur du gratton (un bitume détérioré) ou sur le sol d’un gymnase bien lisse sont deux sensations très différentes.

Que faire pour s’adapter aux différentes surface ? Comment rouler plus vite malgré la qualité du sol ?

le matériel

Ici, le matériel est primordial : de vieilles roues équipées de roulements sales qui n’ont jamais été changées de place empêche la sensation de glisse.

Il faut donc de bonnes roues de course car leur profil elliptique réduit les frottements au sol puisque la surface de contact est petite.

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Roue de vitesse. Gros diamètre 110mm. Noyau à bâtons. Gomme bidensité. Profil elliptique.

Des roues avec une gomme adaptée au sol de pratique (chez les enfants, roues d’intérieur et roues d’extérieur) qu’on nettoie souvent et qu’on change de place tous les 3 entraînements environ.

Il faut aussi des bons roulements. C’est à dire des roulements qui permettent à la roue de tourner longtemps. Si la roue s’arrête après à peine 10 secondes de rotation quand on la fait tourner avec son doigt, c’est pas bon signe !

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Roulements haut de gamme: 5 billes en céramique noire.

Le type de roulements utilisés fait grandement varier ce temps de rotation. En course, on prend du ABEC 7, 9 ou 11 (c’est la tolérance aux mouvements latéraux) mais on utilise aussi des roulements en céramique (très chers) qui laissent tourner les roues vraiment très longtemps.

Mais il vaut mieux entretenir très régulièrement ses roulements de moyenne gamme que de laisser s’encrasser des roulements haut de gamme.

 

 

la technique

La matériel c’est bien mais la glisse c’est mieux!

Si un bon matériel permet de gagner en roulage et en vitesse, c’est à l’entraînement qu’on apprend à devenir un bon patineur. Et bien patiner, c’est avoir une bonne glisse.

La glisse, c’est le temps de roulage optimal sur un pied. C’est pourquoi le patineur de vitesse cherche à rester le plus longtemps possible sur une jambe en “allégeant” son patin d’appui avant de pousser très fort dans le sol. Il pose, ensuite, délicatement la roue avant de l’autre patin et recommence…

Le patineur de vitesse cherche donc à “glisser” plutôt qu’à bouger ses jambes très vite. En réalité, il doit être capable de trouver la cadence de patinage qui lui permet de ne pas gâcher son temps de glisse.

Sur cette photo, Felix Rijhnen est en déséquilibre extérieur, son bassin monte légèrement pour alléger son appui, son temps de roulage sur une jambe sera long.

le physique

La capacité à tenir la glisse dépend du gainage du haut du corps et de la position de patinage. La musculation de la cheville aussi est très importante.

le mental

Pour trouver la glisse, le patineur doit la chercher. Eh oui !

On doit faire tous les efforts pour améliorer son geste. Et une fois ce geste acquis il faut l’entretenir, l’améliorer. Pour cela, il faut y penser tout le temps : décomposer les étapes, corriger les erreurs, chercher le relâchement pour obtenir un geste fluide et ressentir la glisse c’est-à-dire savoir quand commencer la foulée suivante.

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7 octobre 2018

Les enjeux de l’entrainement en roller course : à quoi ça sert de s’entrainer ?

Cet article est une introduction à une série d’articles qui vont porter sur l’entrainement en roller course. Avec comme intention que les jeunes qui s’entraînent dans cette discipline comprennent ce qu’ils font et pourquoi ils le font. Qu’ils puissent anticiper sur les entraînements et même, si le cœur leur en dit, s’entraîner seul en recommençant des exercices fait à l’entraînement et dont ils ont compris l’utilité. Toutefois, les articles ne décriront pas de séances ou d’exercices, ils font l’inventaire de tout ce qui empêche d’aller vite au début et quels moyens utilisés pour y parvenir.

Mais commençons par le début.

L’objectif de l’entrainement en roller course est d’aller vite, et c’est tout.

Et pour parvenir à ce très simple objectif, qu’il ne faut jamais perdre de vue, il faut lutter contre une certaine quantité de facteurs limitants* :

– le frottement du sol

– la résistance de l’air

– la force centrifuge

– la perte d’équilibre

– la perte de l’énergie transmise par le patineur aux roues

– les contraintes mécaniques que les patins imposent au patineur

– la manque de coordination des membres

– la faiblesse de l’articulation de la cheville

– la faiblesse des muscles de la sangle abdominale

– les limites physiques personnelles

– les limites psychologiques personnelles

– et enfin, la peur **

Mais tout cela peut être dépassé par l’entraînement !

Ainsi, pour lutter contre ces facteurs limitants, le patineur dispose de 5 armes :

  1. la technique
  2. le physique
  3. le matériel
  4. la tactique
  5. le mental

Les articles qui suivront, tenteront d’expliquer comment les cinq dimensions de l’entrainement effacent ou corrigent ces facteurs.

*Un facteur c’est un truc qui est déjà là ou qui arrive, et qui influence ce qu’on veut faire. Un facteur limitant gêne ce qu’on veut faire – pour le patineur de vitesse, c’est rouler vite.

** /!\ Ces facteurs ne sont pas classés par ordre de difficulté ou d’importance !! et il y en a certainement d’autres auxquels je n’ai pas pensé.

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6 octobre 2018